Titre : VOYAGE DE PAUL SOLLEILLET D’ALGER À L’OASIS D’IN-SALAH. — RAPPORT PRÉSENTÉ À LA CHAMBRE DE COMMERCE D’ALGER. 1875. Description : 147 pages, 470 ko. Auteur : Paul SOLEILLET. Quoique né à Nîmes, en 1842, Soleillet fit ses études à Avignon. Un jour les livres des voyages de Mungo Park, et de René Caillé lui tombent sous la main. Il les lit et les relit. Sa jeune imagination s'enflamme à cette lecture ; il ne rêve plus que de courir lui aussi les aventures sur le continent noir. En attendant, il remporte tous les premiers prix d'histoire et de géographie. Il part pour l'Algérie et la Tunisie qu'il parcourt dans tous les sens, apprenant l'Arabe, étudiant même le coran, se familiarisant, en un mot, avec les mœurs, les coutumes, la civilisation des peuples qu'il visite. Ce rapport est resté inédit à ma connaissance. J’ai numérisé au clavier le manuscrit mis en ligne par la BNF. De nombreux mots sont illisibles et j’ai martyrisé sans aucun doute les noms propres. La rédaction est lourde et confuse, mais ce texte vaut le téléchargement malgré tout. On pourra mesurer à plus d’un siècle de distance comme les intérêts commerciaux ont évolués ! Qu’est devenu le commerce de la bougie, de l’alfa, de la cire, de l’ivoire… etc., par le Sahara ? (sans parler de la traite des esclaves !)
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Titre : MŒURS ET COUTUMES DE L’ALGÉRIE. Paris 1853. Description : 394 pages, 541 ko. L’auteur : DAUMAS (Melchior-Joseph-Eugène), général de division, sénateur et écrivain, né le 4 septembre 1803, entra dans l’armée comme engagé volontaire en 1822. Nommé sous-lieutenant en 1827, il fut envoyé à l’école de Saumur. En 1835, il vint en Algérie, sous les ordres du maréchal Clauzel, fit les campagnes de Mascara et de Tlemcen. Il s’appliqua avec ardeur à l’étude de l’arabe et se distingua bientôt par une connaissance spéciale des mœurs algériennes. De 1837 à 1839, il résida en qualité de consul à Mascara, auprès de l’émir Abd-el-Kader. Le général de Lamoricière lui confia ensuite la direction des affaires arabes dans la province d’Oran qu’il commandait.
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Titre : L’AFRIQUE OCCIDENTALE. — ALGÉRIE — MZAB — TILDIKELT. 1877. Description : 285 pages, 558 ko. Auteur : Paul SOLEILLET. Quoique né à Nîmes, en 1842, Soleillet fit ses études à Avignon. Un jour les livres des voyages de Mungo Park, et de René Caillé lui tombent sous la main. Il les lit et les relit. Sa jeune imagination s'enflamme à cette lecture ; il ne rêve plus que de courir lui aussi les aventures sur le continent noir. En attendant, il remporte tous les premiers prix d'histoire et de géographie. Il part pour l'Algérie et la Tunisie qu'il parcourt dans tous les sens, apprenant l'Arabe, étudiant même le coran, se familiarisant, en un mot, avec les mœurs, les coutumes, la civilisation des peuples qu'il visite.
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Titre : LES FRANÇAIS DANS LE DÉSERT (Journal d’une expédition aux limites du Sahara algérien). PARIS 1863. Description : 438 pages, 865 ko. « L'auteur LE COLONEL G. TRUMELET, a passé sans interruption 25 années en Algérie (de 1850 à 1875). « Ce brave officier supérieur n'a pas seulement servi brillamment l'Algérie avec son épée ; il honore aussi la littérature française et doit être regardé comme un des premiers historiens de la colonie, un de ceux qui l'aiment le plus ardemment et ont le plus à cœur de la faire chérir. Écrivain distingué, narrateur inimitable, à la clarté des feux de bivouac, dans les belles nuits étoilées du Sahara, le colonel a noté ses impressions personnelles en même temps que les événements de chaque jour dans de très nombreux livres. » (cf. les ouvrages : « Le livre d'or de l'Algérie », « Blida, récits selon légende, la tradition » et « l'Algérie légendaire » sur ce même site). Trumelet présente ainsi son ouvrage : « On apprend un jour, par hasard, que nos frontières ont été portées à cent lieues plus en avant dans le S’ah’râ, que le drapeau de la France a flotté sur les minarets des qs’our »… « ces conquêtes se font modestement et sans bruit »…car « le pays est bien trop ingrat, trop triste, trop difficile, pour que la Renommée s’y hasarde et y traîne ses trompettes. Que voulez-vous qu’elle fasse, en effet, dans le pays de la faim, de la soif et des sables brûlants ? »… « Ce qui manque à ces expéditions lointaines, ce sont les historiographes »… « Il y avait cependant là un livre à faire : nos expéditions dans le S’ah’râ algérien nous avaient permis d’y recueillir de nombreux renseignements nous avions beaucoup vu, beaucoup observé, beaucoup interrogé ; cédant aux conseils de nos amis, nous avons réuni, donné un corps à nos notes, à nos observations »
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Description : 310 pages, 5,4 Mo. Titre : LES DEUX MISSIONS FLATTERS AU PAYS DES TOUAREG AZDJER ET HOGGAR. 1889 Auteur : HENRI BROSSELARD. Capitaine d’infanterie. Membre de la première Mission. Il s’agit d’un ouvrage illustré contenant 51 gravures, ce qui explique son « poids » relativement important. Sa publication fut réalisée 9 ans seulement après le massacre de la deuxième mission Flatters, dans la « bibliothèque instructive » ; c’est dire qu’il trouva son public, à preuve le nombre d’exemplaires disponibles aujourd’hui chez les bouquinistes ; celui que je possède fut offert par la « Ville de Paris » comme prix municipal de gymnastique ! A l’époque des grands succès des « voyages extraordinaires » de Jules Verne, les éditeurs espéraient une réussite similaire en relatant des aventures moins romanesques mais plus tragiques comme celles-ci. L’écriture est plaisante et cet ouvrage trouvera une place méritée sur le « rayon Sahara ».
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Description : 347 pages, 2033 ko. Titre : EXPÉDITION DU GÉNÉRAL CAVAIGNAC DANS LE SAHARA ALGÉRIEN. 1849 Auteur : DOCTEUR FÉLIX JACQUOT ; Médecin de l’expédition. « Pensant que notre livre pourra servir de guide aux colonnes et aux différents groupes qui visiteront plus tard le Sahara algérien oranais, nous avons fait tous nos efforts pour qu’il contint les indications topographiques les plus utiles, et les détails les plus exacts sur les ressources qu’offrent la végétation et les pâturages; nous avons aussi spécifié avec un soin tout particulier les distances qui séparent les stations, et nous avons insisté sur le gisement, la quantité et la qualité des eaux. »… « On s’expliquera ce succès en considérant que les oasis et le désert que nous décrivions n’avaient encore été explorés par aucun Européen » J’ai lu avec intérêt cette ouvrage qui m’a laissé cependant une impression de malaise en ce qui concerne les relations des mesures de rétorsions impitoyables prises par le général Cavaignac à l’encontre des misérables populations des ksour et oasis ; sans parler des conseils de l’auteur, docteur ne l’oublions pas, concernant l’utilisation des techniques d’auscultations pour découvrir les silos enterrés des ksouriens.
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Titre : LE SAHARA ALGÉRIEN. - 1845 L'auteur : DAUMAS (Melchior-Joseph-Eugène), général de division, sénateur et écrivain, né le 4 septembre 1803, entra dans l'armée comme engagé volontaire en 1822. Nommé sous-lieutenant en 1827, il fut envoyé à l'école de Saumur. En 1835, il vint en Algérie, sous les ordres du maréchal Clauzel, fit les campagnes de Mascara et de Tlemcen. Il s'appliqua avec ardeur à l'étude de l'arabe et se distingua bientôt par une connaissance spéciale des mœurs algériennes. De 1837 à 1839, il résida en qualité de consul à Mascara, auprès de l'émir Abd-el-Kader. Le général de Lamoricière lui confia ensuite la direction des affaires arabes dans la province d'Oran qu'il commandait.
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